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L'AMSOUZART-LAC D'IFNI-TOUBKAL HOSTEL EST UNE GITE D'ETAPE POUR LA VISITE DES SITES NATURELS ET TOURISTIQUE DU GRAND ATLAS MAROC.<br /> <br /> MOHAMED HIMMI 0653388600 /e-mail: amsouzarthostel@voila.fr amsouzarthostel@yahoo.com
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H
L'AMSOUZART HOSTEL est une unité hotelière nouvellement ouverte cet été à Amsouzart ,par le Conseil Communal du Toubkal, dans le but d'encourager le Tourisme de montagne dans la Vallée de TIFNOUTE<br /> et faciliter les Itinéraires vers le lac d'IFNI et le Mont Toubkal ,dernièrement une délégation des élèves du Lycée Français du Mont MOROT/JURA,a éffectué une visite d'étude au Parc National du<br /> TOUBKAL sous le thème ECO-TOURISME DURABLE,accueilli par le vice président de la Commune TOUBKAL et les membres de L'ASSOCIATION d'Amsouzart pour le DEVELOPPEMENT ET LA COOPERATION,ensuite ils tenu<br /> une réunion d'etude dans LE SALON DE L'AMSOUZART HOSTEL:HIMMI MOHAMED 0653388600,Email:amsouzarthostel@voila.fr /amsouzarthostel@gmail.com/HIMMI@vtmail.com.
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M
<br /> m_himmi@menara said:<br /> <br /> Situation géographique<br /> <br /> La commune rurale du Toubkal. La Commune rurale du Toubkal est située au centre du haut Atlas à quelques kilomètres à vol d’oiseau du lac d'Ifni et du Toubkal, le sommet le plus haut du Maroc et de<br /> l’Afrique du nord. Administrativement, elle est rattachée à la région Souss Massa Draâ, province de Taroudant, cercle de Taliouine, caïadat d’Askaoun. Sa superficie est environ de 240 km²,<br /> délimitée au nord par la province du Haouz, région deTensift – Alhaouz, au sud par la commune rurale d’Ahl Tifnoute de Taroudant, à l’est par la province de Ouarzazate et à l’ouest par la province<br /> du Haouz. Le siège de la commune se trouve au douar Imlil tout près du souk hebdomadaire Elaârba. Les principaux axes routiers qui desservent la commune sont : la piste n° 1510 d’une longueur de 65<br /> Km (lac d’Ifni, Amsouzerte, Aguim) reliée à la route nationale n° 9 de Marrakech-Ouarzazate via le tizi N’tichka et la piste n° 1737 (lac d’Ifni, Amsouzerte, Ouzioua) d’une longueur de 70 Km<br /> reliant la Province de Taroudant par la RN n° 10. Pour les voies d'accès à pied à travers la montagne, on peut citer les trois itinéraires les plus fréquentés par les touristes qui sont:<br /> <br /> * D'Imlil dans le Haouz à Amsouzerte par le tizi N'Taghrate.<br /> * D'Imlil dans le Haouz à Amsouzerte par le tizi Ouanoums.<br /> * D'Imlil dans le Haouz à Amsouzerte par le tizi likemt et le tizi N'َAouraï.<br /> Le climat. Le climat dans la partie centrale du grand Atlas est dans son ensemble du type méditerranéen. L’air est transparent et le rayonnement solaire est intense comme il est de coutume en<br /> montagne. En hiver lorsqu’il fait froid, le thermomètre peut descendre jusqu’à -10. En été, la température peut s’élever à plus de 36°. L’enneigement peut descendre jusqu’à 1500m, mais ne dure pas<br /> longtemps au dessous de 2000m. En hautes montagnes, elle disparaît en juin et ne subsiste que rarement dans quelques couloirs étroits. La pluviosité dans la région varie entre 300mm à 500mm. La<br /> saison des pluies coïncide avec la saison froide. En été, de fortes averses provoquées par des orages violents peuvent se produire. Le nombre de jours de pluie est aléatoire selon les saisons. Pour<br /> une année exceptionnelle, on peut compter de 30 à 70 jours de pluie.<br /> <br /> Les ressources en eau. L’eau est abondante dans la commune durant toute l’année. Les champs sont irrigués par de petits canaux de déviation alimentés en amont par le torrent. Le lac d’ Ifni reste<br /> le principal pourvoyeur d’eau de la région. Il est alimenté par la fonte des neiges des hauts sommets qui l’entourent. Presque tous les douars ont une source locale pour s’approvisionner en eau<br /> potable. Le manque d’eau se fait rare par son abondance.<br /> <br /> Les habitants<br /> <br /> La population. D’après les historiens, la montagne du haut atlas était habitée par des berbères Masmouda et qu’au moyen âge, le versant nord été occupé par la puissante confédération des Hintata<br /> tandis que le versant sud était le pays des Aït Ouaouzguite qui s’y trouve encore. Au temps des Almohades, au Xll siècle, des groupes entiers des Aït Ouaouzguite et de leurs voisins du sud du<br /> siroua, les sektana sont venus s’établir sur les basses montagnes du haut atlas occidental. Aujourd’hui la population actuelle de la commune rurale du Toubkal est le résultat de brassages<br /> incessants, on y trouve des gens venus des plaines avoisinantes, de ghighaïa, d’ourika, du souss, de safi et d’Eljadida. Sa population est d'environ 10000 individus répartie sur 45 douars et<br /> hameaux. Elle est composée d'Aït Tizgui au nord, les Aït Imi n’Tizgui au centre, les Aït slimane et les Aït Telti à l’est.<br /> <br /> Répartition des ménages et des habitants par douar.<br /> <br /> Nom du douar Nombres de ménages Nombre d’habitants<br /> Afza 51 313<br /> Tzzir 9 57<br /> Takount 10 70<br /> Igardan 29 168<br /> Tiourar 70 379<br /> Larbaâ 41 267<br /> Tigmi Igrane 27 149<br /> Tizi N’Aït aâzza 35 241<br /> Issoual 50 313<br /> Taourirt N’Oumzil 7 26<br /> Takchidern 40 244<br /> Tamsoult 18 146<br /> Adad 38 251<br /> Tasloumt 24 178<br /> Talmest 15 137<br /> Azrou 46 310<br /> Talat N’amrane 26 180<br /> Almodaâ 27 208<br /> Nom du douar Nombres de ménages Nombre d’habitants<br /> Zaouit 53 367<br /> Ousraïne 21 128<br /> Asarrar 12 79<br /> Mezgammat 61 395<br /> Alemkal 27 180<br /> Tagounite tansalft 31 181<br /> Imlil 37 235<br /> Ouaounzourt 43 272<br /> Agadir 34 247<br /> Talmirselt 53 381<br /> Tizoual 11 104<br /> Amsouzerte 53 433<br /> Idouganoudine 8 61<br /> Takaterte 39 248<br /> Tissougane 21 167<br /> Aït Igrane 23 167<br /> Imhilène 27 199<br /> Andos 22 196<br /> Tagounite 65 438<br /> Timzakine 15 134<br /> Aguerzrane 20 182<br /> Tagadirt 14 103<br /> Ouanefsioune 16 116<br /> Taska 9 58<br /> Missour 23 191<br /> Tisseldey 25 210<br /> <br /> Population : 9109 Part des femmes: 46 %<br /> <br /> L’organisation villageoise.<br /> <br /> La tradition communautaire de la population est très développée. Chaque douar a un comité appelé « ljmaât », conseil traditionnel qui réunit les hommes du village et qui dirige les actions<br /> collectives et sociales des villageois. Ce conseil est constitué par des lignages présidés par l’homme le plus âgé. La protection du patrimoine exige pour sa mise en valeur, un travail constant qui<br /> suppose la collaboration de tous les membres de la famille, de tous les habitants du douar et les douars avoisinants. Il faut chaque année réparer les murettes des champs, le curage et l’entretien<br /> des canaux d’eau (targa), s’associer aux labours, à la moisson, à la garde des noyers avant le gaulage et préparer les activités rituelles. Il y a aussi la répartition de l’eau d’irrigation à<br /> partir des canaux qui se fait par tour suivant un système mis en place, décidée et organisée par la jmaâ. Cette cohésion sociale pour le travail, cette servitude collective exige une mobilisation<br /> massive des gens et instaure la consolidation et la solidarité entre les citoyens.<br /> Les ressources des habitants.<br /> <br /> L’agriculture et l’élevage constituent la principale activité et ressource des habitants. Exploitant de petits champs en terrasse et irrigués à l’aide de petits canaux de déviation « targua ». Le<br /> travail de la terre est effectué au moyen d’outils traditionnels, l’araire tirée par les mulets et la houe, La fumure animale est le principal engrais utilisé pour enrichir la terre. 60/100 des<br /> terres sont réservés à la culture de l’orge et du maïs et 30/100 à l’arboriculture (noyer, amandier, pommier, cerisier, poirier, cognassier) et le maraîchage. L’élevage est constitué de bovins,<br /> d'ovins et de caprins.<br /> La santé.<br /> <br /> Compte tenu de la faiblesse de l’encadrement et de l’infrastructure sanitaire au niveau de la commune (un seul infirmier pour 10.000 habitants, pas de salles d’accouchement, pas d’infirmières et<br /> pas de médecin) la couverture médicale reste insuffisante. Les prestations sanitaires restent limitées aux habitants de sexe masculin. Quand aux femmes, vu les traditions de la société, évitent de<br /> se faire soigner au dispensaire. L’intégration de l’élément féminin par l’affectation d’une infirmière est nécessaire au dispensaire pour que tout le monde ait accès aux soins de santé. On peut<br /> quand même signaler des progrès notables qui ont été enregistrés au niveau de la prévention des maladies infantiles, grâce à la vaccination qui est généralisée parmi la population en bas âge d’où<br /> une régression de la mortalité infantile. La disposition d’une ambulance pour les cas urgents.<br /> La scolarité.<br /> <br /> Actuellement, grâce à la mobilisation de l’état, les infrastructures du premier cycle de l’enseignement fondamental couvrent toute la commune rurale du Toubkal. Il y a trois groupements d’écoles<br /> dans la région. Le taux de scolarisation a connu une augmentation appréciable. Malgré cette régression sensible de l’analphabétisme, l’objectif de la généralisation de l’enseignement de base à<br /> l’ensemble des enfants d’âge scolaire n’a pas été encore atteint.<br /> Le développement<br /> <br /> D’importantes réalisations en matière d’infrastructures de base ont vu le jour dans la région grâce aux efforts considérables déployés par l’état pour améliorer les conditions de vie des<br /> habitants.<br /> Construction des écoles. Electrification des douars (panneaux solaires). Evolution du réseau routier. Disponibilité d’un dispensaire rural. Installation du réseau téléphonique (fixe et portable).<br /> Réfection des canaux d’irrigation. Installation des réservoirs d’eau dans les douars. Au niveau social, l’état à encourager la généralisation de la scolarisation de la jeune fille rurale en<br /> octroyant des dons à sa famille (farine, huile..). Elle a aussi subventionné la farine vendue aux gens à un prix préférentiel.<br /> <br /> Malheureusement l'essor social et économique au niveau de la commune reste minime. La forte poussée démographique de la population, le morcellement des terres collectives et la non rentabilité du<br /> secteur agricole et de l’élevage au niveau de la productivité a été un obstacle pour le développement humain qui n’a pas pu atteindre les objectifs escomptés permettant à la société de sortir de<br /> son sous-développement. Il faut aussi signaler le problème de la détérioration croissante des ressources en sols du aux nombreuses inondations qu’a connu la ré<br /> <br /> <br />
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